| NEVER ENDING TALE |
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

 

 Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Auteur Message
Invité
Invité



Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une Vide
MessageSujet: Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une soeur et son frère.   Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une EmptyVen 24 Juil - 0:28

Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une Img-202703fn7sb Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une Eravin4wq0
Ezékiel & Luca
Private


Où ? Central Park, près d’un arbre.
Vers quelle heure ? Le matin, vers dix heures



    Les liens qui unissent les enfants de la famille Wood sont tellement puissants qu’il serait impossible de les briser. Ezékiel et Luca n’ont qu’une année qui les séparent, ce qui explique certainement leur parfaite entente. Qui sait si ils auraient eu la même relation si quatre années les séparaient? Enfin bon, quoiqu’il en soit, les deux jeunes étaient très proches. Ou du moins, Luca envahissait constamment l’espace de son frerot, pour s’assurer que rien ne lui arrive bien sûr. Elle n’aurait jamais supportée l’idée qu’il arrive quoique ce soit à Ezé, il en allait de même pour Anise d’ailleurs. La jeune blonde avait bien compris qu’elle pouvait devenir parfois soûlante voir énervante à se mêler toujours de la vie de sa sœur et son frère, mais une force venue de nulle part la poussait sans cesse à intervenir lorsqu’elle avait le pressentiment que quelque chose allait se produire. En vérité, la britannique possessive n’arrivait que rarement à se passer de son frère, c’était en partie pour cette raison qu’ils se voyaient souvent, voir tout les jours. Bien qu’Ezékiel soit de caractère calme et peu bavard - tout le contraire de Luca en somme, ils trouvaient toujours de quoi discuter et lorsqu’il n’y avait rien à dire, le silence parlait pour eux. Le jeune britannique était la compagnie préférée de la blondinette, et même s’ils leurs arrivaient d’épuiser tous les sujets de conversation et de se retrouver à fixer le vide, elle était tout de même heureuse. Lorsqu’elle sentait la présence de son frangin près d’elle, toutes ses angoisses disparaissaient.
    Jusqu’à hier soir. Cela faisait trois jours que Luca n’avait plus de nouvelles d’Ezékiel et à vrai dire, elle était prise d’une angoisse maladive. Ses fines mains ne cessaient de se tordrent sur ses genoux lorsqu’elle s’asseyaient dans le divan pour regarder un film. Il ne répondait pas à ses coups de fils, ni aux e-mails qu’elle lui avait envoyé. Très vite, elle fut parcourue par un sentiment de colère. Ezékiel savait pertinemment qu’elle s’imaginait les pires scénarios lorsqu’elle ne le voyait pas plus de deux jours en suivant. Il aurait du l’appeler, même s’il n’avait pas eu envie de la voir, au moins lui donner de ses nouvelles, ce n’était pas trop dure à faire ! D’un bond, Luca se leva et entreprit de faire les cents pas dans son appartement. Voilà un des avantages de posséder un grand appartement dans l’UES, marcher de long en large était aisé. Des centaines de pensées de bousculaient dans sa tête, plusieurs options s’ouvraient à elle : soit elle s’habillait et fonçait chez mister Wood pour lui botter les fesses pour ne pas lui avoir donner de signe de vie, soit elle l’appelait et risquait de le réveiller - après tout le cadran affichait trois heures du matin, ou encore elle pouvait lui envoyer un message en espérant qu’il réponde cette fois-ci; Bref, elle n’avait pas envie de sortir, ni de s’engueuler par téléphone, il ne restait que la troisième option. Aussitôt la décision prise, Luca stoppa nette sa marche et sentit tout d’un coup sa tête tourner horriblement. Elle tâtonna le bras tendu, essayant de s’accrocher à n’importe quoi, sa main trouva une surface qui semblait solide. Mauvaise pioche, Armelle venait de poser la main sur un livre qui reposait dangereusement sur la table de la salle à manger. La britannique blonde chuta la tête la première, se cognant la tête contre le bord de la table. Catastrophe ambulante, les situations comme celle-ci étaient si fréquente qu’elle avait pris l’habitude de ne plus crier lors de sa chute. Voyez-vous, Luca est une grande maladroite, elle tombe, trébuche tous les jours. Là, elle venait de tomber pour la troisième fois de la journée. Elle se releva péniblement, massant le sommet de son crâne douloureux. Elle aurait à coup sûr un vilain bleus demain. L’empotée attrapa son portable et se dirigea vers sa chambre. Bien que très fatiguée, elle parvint à se dédoubler et la pièce se retrouva cohabiter par deux Luca. Son double s’approcha de la jeune britannique et entreprit de soigner sa blessure au crâne. Voilà qui était util avec son don, à force d’entrainement elle était parvenue à faire reproduire a son double exactement les attitudes qu’elle faisait elle-même. La jeune blonde laissa échapper un grognement de douleur lorsque son double désinfecta sa blessure. Le seul problème restait que ses doubles ne parlaient toujours pas. Elle n’arrivait pas à suffisamment se concentrer pour les faire parler. Détail qu’elle devrait améliorer rapidement. Pour en revenir à son frère porte disparu, Luca composa un message et lui envoya ;

    «  Zéké, RDV central park à dix heures tapantes.
    Luca. »


    Bon d’accord, le message était assez court et froid, mais après tout c’était lui qui faisait silence radio depuis trois jours! Elle n’allait pas lui envoyer des fleurs tout de même. C’était parfaitement compréhensible d’être en colère non? Du moins, c’était ce qu’elle essayait en vain de se faire croire, au fond elle n’avait jamais été capable de lui en vouloir. Mais tout de même, pourquoi ne l’avait-il pas contacté? Un doute s’immisça dans ses pensées : et s’il ne voulait pas lui parler ? Et s’il ne se pointait pas au rendez-vous qu’elle venait de lui donner? Luca chassa cette pensée d’un clignement des yeux, elle fit disparaître son double qui avait parfaitement soignée sa blessure et décida d’aller dormir. Rien ne vaut une bonne nuit de sommeil pour avoir les idées claires.

    Le lendemain matin, dans un appartement luxueux situé dans l’Upper East Side, une femme à la chevelure dorée, ne dépassant pas le mètre cinquante-huit, s’éveilla avec une douleur horrible au crâne. Il était environs huit heure et demi du matin, et rien qu’en voyant la tête de la pauvre fille, il était évident qu’elle n’avait pas passée une agréable nuit. En effet, des rêves plutôt bizarres n’avait cessé de la déranger, l’empêchant de correctement récupérer. Ajouté à cela que ses voisins avaient décidés d’organiser une fête jusqu’à tard le soir - ou tôt le matin, et vous obtenez Luca Armelle Wood, le visage un peu trop pâle, une vilaine blessure sur le sommet droit du front à la frontière du crâne et les cheveux en bataille. Quelle allure!
    La jeune photographe lorgna d’un œil son réveil posé sur sa commode et s’étira longuement. Central Park n’était pas tout près de son appartement, mais elle trouverait bien un taxi qui l’emmènera rapidement. Blondinette s’éveillait doucement tout en déjeunant, prenant sa douche et pour finir elle s’habilla rapidement. Pour voir son frère, inutile de s’habiller tel un top model, elle opta donc pour une robe bleu pâle qui faisait ressortir ses magnifiques yeux azur. Elle chaussa des ballerines blanches et sortit à la hâte, attrapant au passage son appareil photo ainsi que son sac contenant toutes ses affaires. Comme prévu, elle parvint à obtenir assez vite un taxi, qui l’emmena en moins de vingt minutes à sa destination.
    Il était dix heures moins dix.
    Luca s’installa sur l’herbe, sous un énorme et magnifique arbre. Elle se mit à contempler les gens qui allaient et venaient dans ce parc, attendant anxieusement l’arrivée de son frère.
Revenir en haut Aller en bas
Ezékiel G. Wood Ezékiel G. Wood
a d m i n i s t r a t r i c e

Date d'inscription : 16/02/2009
Nombre de messages : 528
● APPARTENANCE : les prodiges.
● VIE PRIVÉE : un ermite demeure un éternel solitaire bien qu'une certaine flamme dorme sous la cendre.
● ÂGE : vingt deux années.
● DISPONIBILITÉ : par mp.


Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une Vide
MessageSujet: Re: Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une   Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une EmptyVen 24 Juil - 20:35


Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une Img-193525ibatd Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une Img-193610v36zf
« On se retrouvait sous l’Oiseau Lunaire on grimpait sur le Minotaure, rien ne nous était interdit ; aujourd’hui tout change. »
a.


    Les souvenirs qu’on s’invente sont parfois les plus beaux ; mais ceux vécus demeuraient ceux auxquels ont tenait énormément d’importance. Certains sont plus en profondeur mais restent les plus douloureux. Rien n’était plus pareil ainsi le passé était loin derrière l’individu ou peut être pas. Si petit peut paraitre l’être et si grand peut en être sa pensée. Munit d’une constance et d’une légèreté sans borne, sans limite ni barrière, la pensée prône son idée primaire comme les couleurs d’un ciel sans nuage danse dans le monde d’en haut. Elle est le maitre de notre conscience, source de nos envies et de nos convictions. Et pourtant l’humain continue de désespérer dans sa soif d’impatience à découvrir, à mettre un visage sur l’inconnu, un mot sur un silence, un son sur une mélodie et un néant sur un trou béant. Rien n’est plus compliqué que l’existence d’un mystère, surtout si le lien que vous entretenez avec ce secret est familier et réciproque ; ce qui n’était pas le cas de Luca et de son frère. Ces deux là étaient très liés et l’un connaissait l’autre comme ils se complétaient.

    Depuis près d’une semaine, le britannique n’avait donné signe de vie a personne que se soit Anise, ou bien Logan. Mai sil savait très bien que le pire acte qu’il avait commis était d’avoir oublié de prévenir sa sœur. Cette dernière ayant un comportement protecteur - vraiment aigu - devait se faire un sang d’ancre à son sujet. Seulement il avait eut besoin de se retrouver seul dans sa bulle, dans un univers qui était le sien et qui demeurait inconnu des autres. Cela était pour lui un moyen d’évasion mais aussi une manière de se remettre en question, mais a trop s’analyser on se fragilise, ce qui advenait chez ce brun mystérieux. Bref. Il était partit au large de Manhattan loin de la ville de son adolescence et de celle qui lui rappelait le jeune prodige qui avait tentée de reproduire la partition tant jouée les jours de son enfance. Il n’était revenu que ce matin là, sous un ciel de mauvais augure qui ne laissait guère présagé que le lendemain serait plus ensoleillé. Il devait être aux alentours de cinq heure du matin lorsque Zéké franchis la porte de l’appartement qu’il partagé avec sa petite sœur adoptive, Anise. Cette dernière bien qu’elle soit grande et autonome devait surement être en compagnie d’un de ses amis ou chez Logan. Après tout, sa meilleure amie s’entendait à merveille avec la jeune O’Maley donc il ne s’en fit pas. En pénétrant dans le salon aux couleurs claires et sobres, l’étudiant s’arrêta au contour de la table du salon pour voir le courrier qui jonchait tel un nid de corneilles sur le meuble ne verre. Rien de bien important ne retenait son attention si ce n’est effectivement une missive de sa petite frangine qui lui avait laisser un mot lui indiquant qu’elle passait la soirée avec Logan - comme il le pensait - et qu’il ne devait pas s’en faire pour elle, mais qu’en revanche il allait devoir l’entendre des son retour.

    Esquissant un faible sourire, l’ange rigolard secoua la tête en jetant les clefs de son véhicule sur le comptoir en pin de la cuisine. Il saisit alors son téléphone portable dans la poche de son pantalon et ne fut guère surpris de voir des tonnes de messages de sa sœur ainsi que des appels manqués de cette dernière. Soupirant doucement, le Wood s’en voulait fortement de ne pas avoir donné signe de vie a son ainée, sa nature de maman poule la rendait extrêmement angoisser et parfois son angoisse se transformer en scène de morale qui pouvait faire peur évidement. A cette perspective, le brun aux reflets de cuivre ne put réprimer un rire cristallin et amusé. Sa blondinette de sœur lui fixait un rendez vous au central Park, ce qui mot pour mot signifiait « tu as intérêt à venir si tu tiens a ta vie mon grand ! ». Il posa son cellulaire sur le comptoir et se dirigea vers sa chambre où il tenterait désespérément de trouver un semblant de sommeil.

    Lorsque que le soleil se leva, Zeké fut surpris que les rayons du soleil soit au gout du jour, mais après tout pourquoi pas. Se levant d’un pied assuré, le jeune homme pris la direction de la salle de bain afin de prendre une bonne douche qui sans aucun doute le réveillerait davantage. Enfilant un t- shirt de couleur bleu dans les tons clairs, une chemise à carreau assorti et un short de saison, le pianiste jeta un coup d’œil à l’horloge qui affichait 9h 40. Pressant le pas vers la sortie du logement, le télékinésiste n’oublia guère les clefs de l’engin qui le rendait satisfait lorsqu’il s’agissait de vitesse : sa voiture. Une fois sur le chemin du point de rendez vous, Zéké abandonna son véhicule sur le parking et opta pour prendre deux cafés à emporter au passage. En entrant dans le parc, il fut très rapide de remarquer la présence de sa sœur. Un sourire aux lèvres, l’accusé tendit un café a Luca et répliqua d’un ton désolé et moqueur.

    « Pardonné ? ».
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une Vide
MessageSujet: Re: Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une   Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une EmptySam 25 Juil - 15:26

    Les doigts de la blonde tapotaient doucement ses genoux, geste inconscient qui se produisait à chaque fois qu’elle laissait son esprit vagabonder plus loin qu’elle n’aurait du. Une multitude de fragments d’images faisaient des allers-retours dans son esprit, lui remémorant certaines périodes de sa vie. Aussi loin qu’elle se souvenait, elle avait toujours été la grande sœur beaucoup trop possessive du à la tragédie qui avait foudroyé leur famille mais, dans le cas contraire, elle se demandait de quelle manière elle aurait bien pu évoluer. Ses yeux azur observaient les personnes présentes dans le parc qui s’occupaient tous à leur manière. Trop souvent elle avait tentée de laisser un peu d’espace à son frère et sa sœur, la jeune britannique ne tenait sa résolution qu’au maximum une semaine après quoi, elle revenait à la charge, le moral dans les chaussettes. Au fond, Ezékiel et Anise, depuis leur arrivée dans la vie de Luca avaient comblé le vide qu’avait creusé une blessure ancienne. Son frère, bien qu’il n’était pas de nature bavarde, parvenait toujours à lui remonter la morale et la faire sourire lorsqu’elle n’était pas en forme. Pour ces raisons et tant d’autres, Luca n’arrivait pas à le laisser s’éloigner trop loin ni trop longtemps, c’était déjà un exploit qu’il vive à Brooklyn tandis que la jeune blonde avait décidée de résider dans l’Upper East Side ! Cette décision avait été prise rapidement, sinon elle aurait pesé le pour et le contre et n’aurait jamais déménagée. Elle frôla du bout des doigts son appareil photo et, se remémorant quelques bons souvenirs, un sourire se dessina sur ses fines lèvres.

    Un doux parfum de café vint lui chatouiller les narines, elle redressa la tête intriguée pour pouvoir comprendre d’où venait cet arôme si délicieux. La photographe se retint de pousser un cri de surprise lorsqu’elle vit une main aux fins doigts qui lui tendait un café. Les yeux de la belle remontèrent jusqu’au visage du propriétaire et ce fut sans surprise qu’elle découvrit son frère, un sourire discret se dessinait sur son visage. Elle s’empara du café qui sentait divinement bon tout en écoutant la courte phrase d’excuse d’Ezékiel. Le doux parfum du nectar marron empli le nez de la jeune femme, qui inspira profondément. Elle adorait le café, de plus à cette heure-ci elle en avait bien besoin. Amenant son café à ses lèvres, elle bu une gorgée avant de se décider enfin à répondre à son petit frère.

    «  Je n’ai jamais pu résister à un bon café, tu as de la chance. »

    Son ton laissait percevoir un reproche évident. Le beau blond savait qu’elle n’aimait pas être sans nouvelles de lui. Malgré tout, Luca n’arrivait pas à en vouloir à son frère, son anxiété avait disparu à la seconde où elle l’avait vu. Posant son café près d’elle, elle se leva et se plaça devant son frangin. D’accord, il avait pratiquement deux têtes de plus qu’elle, la blondinette était très petite. Sans prévenir, elle enfonça son minuscule poing dans les côtes de l’artiste. Elle était tout à fait consciente qu’il n’avait pas du ressentir quelque chose, son poing étant petit et pas le moins du monde musclé. Ce geste signifiait qu’elle était fâchée mais qu’elle était heureuse de le revoir tout de même. Une mèche de cheveux lui tomba devant les yeux, d’un geste mécanique elle replaça cette dernière derrière son oreille, laissant découvrir la blessure sur le sommet droit du front qu’elle s’était faite hier soir.
    La grande sœur posa ses yeux sur le grand et bel homme qui, bien que ce fût difficile à croire, était son grand frère. Elle reprit la parole, d’une voix douce et calme.

    «  Où étais-tu?
    Si tu ne voulais pas me voir ces derniers jours, tu aurais quand même pu me laisser un message! Ça m’aurait évité de devenir hystérique. »


    Luca fronça les sourcils, se voulant sévère. Ce qui, bien entendu, eut tout sauf l’effet désiré. Elle reprit place contre le tronc d’arbre et plaça entre ses mains le nectar chaud qui envoya une vague de chaleur dans ses doigts pour remonter jusqu’à ses bras. Levant les yeux vers Ezékiel, elle ne put s’empêcher de lui adresser un de ses magnifiques sourires, ses yeux ayant retrouvé leur pétillement habituel.
    Même avec tout les efforts du monde, elle était incapable d'en vouloir à Ezékiel. Peut-être était-ce parce que c'était son frère, ou simplement du fait que la demoiselle fuyait à tout prix les conflits. Qu'importe la raison, elle avait déjà effacé toute sa rancune de la veille, ne gardant aucun souvenir hormis la vilaine blessure qui ornait son visage. Luca était tellement habituée à avoir des hématomes régulièrement, qu'elle avait complètement oublié celui situé sur le coin gauche de son front. Il disparaîtrait dans plus ou moins une semaine, deux grand maximum, bref, elle n'allait pas mourir d'une hémorragie crânienne ou autre chose du genre.
    Tout ce qui l'importait en ce moment, c'était de passer la journée avec son petit frère, de comprendre pourquoi il n'avait pas donné de signe de vie et de découvrir les nouveaux évènements qui s'étaient produits dans la vie mouvementée de Zéke.
Revenir en haut Aller en bas
Ezékiel G. Wood Ezékiel G. Wood
a d m i n i s t r a t r i c e

Date d'inscription : 16/02/2009
Nombre de messages : 528
● APPARTENANCE : les prodiges.
● VIE PRIVÉE : un ermite demeure un éternel solitaire bien qu'une certaine flamme dorme sous la cendre.
● ÂGE : vingt deux années.
● DISPONIBILITÉ : par mp.


Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une Vide
MessageSujet: Re: Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une   Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une EmptyMar 11 Aoû - 21:54

Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une Img-205427xa2w5 Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une Img-205514h34ow


    under construction.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé




Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une Vide
MessageSujet: Re: Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une   Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Il n'y a rien de plus étrange que les liens qui unissent une

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum: Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| NEVER ENDING TALE | :: C'est la pause syndicale - café chaud pour tous... :: La corbeille à déchets :: détails importants ? :: RPs achevés. -