Caleb K. Lewis
p r o d i g e
Date d'inscription : 16/07/2009
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 Sujet: Recherche de son meilleur ami ( Zéké ) Jeu 13 Aoû - 15:02 |
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La nuit avait été des plus mauvaises et je n’avais pas beaucoup profité de mon temps libre cette semaine pour poursuivre la petite enquête que je voulais mener à bien en compagnie de mon meilleur ami de toujours, Ezékiel. Il était le seul individu sur terre contre qui je ne remettrais jamais ma confiance en doute. Je lui porte une amitié solide et tout comme Maya, il est mon pote de tous les coups. C’est surement lui le plus réaliste du groupe que l’on peut former aujourd’hui, à souligner qu’il est un peu trop négatif à mon goût, mais il reste mon frère si je peux l’appeler ainsi. En parlant de lui, je devrais un peu me motiver sinon je vais finir par me mettre en retard pour de bon. Repoussant les couvertures au bas de mon lit, je me pressais pour me rendre à la douche et ensuite m’habiller d’un survêtement, encore une fois comme j’en prends le pli de bon matin. Une fois prêt je sortis de mon appartement faisant face a l’appartement de certains voisins, et je traversais la rue perpendiculaire pour me rendre chez Zéké afin de voir où était ce petit malin qui n’avait pas donné signe de vie a ma cousine et à sa meilleure amie depuis quelques jours maintenant. D’ailleurs ces temps ci je le trouvai vraiment étrange, un peu comme plus fermé qu’il ne l’était dans ses habitudes. Arrivé a l’étage de son appartement qu’il partageait avec Anise (sa petite sœur d’adoption), je frappais mais sans aucun résultat évidement. Après une dizaine de minutes, ma patience atteint enfin ses limites et je dû me résoudre à employer la manière la moins passive, en lui laissant un message rapide sur son téléphone mobile.
Hé ! Mec ! T’es passé où ?
A ce moment je sentais mon coté soit disant protecteur ressortir. Ridicule parfois, mais je ne vais pas changer mon caractère, surtout avec Zéké. Pas de réponse ! Il allait en prendre pour son argent comptant celui là à donner des frayeurs bleues aux autres. Je descendis les escaliers aussi vite qu’il m’était possible de le faire et je gagnais alors ma voiture. Un petit bijou que je devais a des heures de travails fatigantes et qui méritait un détour de dépôt de plainte à l’inspection du travail. Rouge et rapide, le 4x4 que j’avais obtenu à ma majorité me servait toujours autant et je prenais la direction de la ville de Manhattan où je trouverais peut être mon meilleur pote. Je n’étais pas surpris en m’arrêtant devant l’allée de l’université, il était encore vivant et toujours avec son livre a sa main. La voiture laissait un peu plus loin, je m’amenais vers lui en lui chipant son livre des mains.
Tu es difficile à trouver mon vieux !
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