•• zeke. « try again writer ».

« é z é k i e l. g a s p a r d. w o o d. »

« La fatalité du monde ne se borne qu’a sa propre pensée. ».

•• zeke. « try again writer ». Img-1824020soyw

(c) &fascination

« Voici venir les temps où vibrant sur sa tige
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !

Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.

Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige,
Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ;
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.

Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir,
Du passé lumineux recueille tout vestige !
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige...
Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir ! »

« Harmonie du soir. » ; Baudelaire.

Spoiler:

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ACTE DE NAISSANCE

nom:

prénom:

âge & date de naissance:

nationalité:

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•• zeke. « try again writer ». Img-205240f4bt5

INFORMATIONS PERSONNELLES

emploi:

statut martial:

pouvoirs:

réside dans:

BROOKLYN

L'UPPER EAST SIDE

L'UPPER WEST SIDE

appartient aux/à:

DESCENDANTS

PRODIGES

LA SOCIÉTÉ LATNOK

LA DÉCADE

NEW-YORKAIS

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•• zeke. « try again writer ». Img-205611kng9l

LE PÉRIPLE D'UNE VIE

apparence physique:

traits de caractère:

« Et si je te connaissais pas Zéké, je dirais que tu es une personne changeante au teint d’esprit extrêmement puissant et meurtris. Mais tu réaliseras de grandes choses, des choses … Dont tu n’as même pas encore idée. ».

« Les failles ne sont pas vraiment un obstacle, mais une force dont il faut puiser la source pour en faire qualité. Je sais que la tache est rude mon enfant mais garde a l’esprit cette volonté … Telle une poigne de fer. ».

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croyances:

vision d'un monde parfait:

Prologue.

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« Si vous cherchez la source du fleuve Yosthino, vous la trouverez dans les gouttes d'eau sur la mousse. ».
Proverbe.

Doucement bercé par la brise du vent venant se jeter sur ses cheveux en bataille, l’ange rigolard pensait à tout mais aussi a rien, au temps qui passe et qui trépasse, a l’avenir étrange et aux songes d’une vie dit « différente ». L’homogénéité obtient tendrement sa place, tandis que la divergence s’amenuise. Accoudé sur le rebord de la fenêtre entre ouverte, il se plaisait à contempler les étoiles métaphore sage et pensive aux reflets de guide comme le faisait brillamment l’étoile Polaire. Souvenirs d’enfance mais souvenirs tendre à la mémoire. Tranquillement et pas à pas il déposait les « Les fleurs du Mal », où il vint cornait la page au poème de Baudelaire intitulé « Réversibilité ». Le manuscrit qui jonchait dès lors sur le piano noir, ne fut pas très lointain de son propriétaire qui s’installa sans un bruit derrière l’instrument a cordes frappées. Mélodie jouée, les cinq sens aux aguets, la conscience ouverte, il laissait libre cours a son envie de création, d’imagination. Le commencement avait toujours un début, un début agréable ou bien funeste, une sorte de comptine qui n’est pas toujours bonne a être connu des petits enfants. Tout semblait apaiser ce petit individu, jusqu’à ce que sans sa Protectrice, le début du puzzle de sa vie se perde dans les limbes de l’oubli.

Le pacte de l’innocence ; Un lien futile mais subtil.

« Si l'on veut s'approcher des enfants, il faut parfois devenir enfant soi-même. ».
Nemcova Bozena.

Logement de la famille Wood.
5 juillet 2196. Londres, Grande Bretagne.

La réalité ne faisait guerre avancer l’imagination d’un enfant. Frein de rêves et d’illusions, elle gardait en elle une part de souffrance et d’aliénation digne des plus grandes pièces de théâtres des temps anciens telle que Phèdre ou encore Œdipe. Toutes ses histoires éponymes couchaient sur papier par de grands tragédiens, ne révélait ni plus moins les plus vastes et courtes anecdotes d’une simple vie en des temps repliés et lointain. Un bruit saccadé, des pas rapides se faisait entendre dans le corridor sobre qui menait à la pièce principale. La résonance de cette démarche représentait sans aucun doute un petit bonhomme, abordant une chevelure en bataille de couleur châtain et d’un regard bleu dont peu d’individus auraient pu posséder. L’enfant à l’allure svelte et sage, ouvrit avec un fracas assourdissant la double portes qui donnait sur le salon aux motifs d’une décoration typiquement grecque, où la comparaison d’un palais de l’antiquité n’avait aucunement sa place. Teintes vives et claires, meubles doux et sculptés en bois de pin mais aussi de hêtre, la salle était très clairement dominé par un imposant instrument à cordes frappés. Le piano qui trônait prés de la fenêtre, était un symbole d’héritage de la famille maternelle depuis des générations qui sans aucunes surprises laissait des prédispositions à ce que la descendance en ait un jour l’usage à son tour. Soudain, tendrement et affectueusement, une voix légère et cristalline émana de la pièce déserte.

LA PROTECTRICE – « Allons Ezékiel ne soit pas si pressé. ».

Son rire de cristal embarqua son fils dans un monde posé ou là quiétude était le maître mot. Assise sur le banc qui siégé juste devant le piano d’ébène, la mère fit signe a son fils de s’avancé vers elle, afin qu’elle puisse le voir. Sourire abordant ses lèvres rosées, Tristan n’eut pas besoin de se faire prier pour rejoindre les tendres bras sécurisant de la figure maternelle.

LA PROTECTRICE – « J’ai appris que tu as été un garçon bien courageux ce matin. ».
LA FORCE – « Je ne vois pas en quoi défendre les autres peut être courageux ?! ».
LA PROTECTRICE – « Ton comportement et ton attitude trouve cela naturel n’est ce pas ? ».
LA FORCE – « Oui évidement, je ne pouvais pas laisser Alice se laissait insulter de certains noms… Les gens ne sont pas vraiment d’une gentillesse naissante. ».
LA PROTECTRICE – « Exactement, et c’est pourquoi les mœurs changent Zeke, grâce à quelques personnes qui agissent ainsi. ».

Tête faisant un léger mouvement circulaire, le jeune Wood toisait d’un regard emplis de sagesse enfantine l’arbre fleurissant qui au gré de la brise du vent laissait s’envoler ses fines pétales roses et blanches. L’été venait de commencer et les cruautés apparaissaient de plus en plus dans le monde telle une chaîne de mots sans fin et lugubre. Manifestant une envie soudaine de jouer du solennel instrument de ses ancêtres, le jeune mystérieux s’installa aux cotés de la jeune femme travaillant pour le département de biologie et dont le devoir allez bientôt la rattraper. Sarah – ainsi se nommait elle – expliqua de manière simple et profonde la façon dont chaque touches d’ivoire possédait son propre son et que chaque gamme devait être parfaitement su pour déchiffrer les codes de partitions anciennement rédigés comme innovatrice. Après quelques heures d’exercices acharnés mais enrichissants, le fier gamin se mit à jouer en concert avec son professeur un morceau de Mozart. Une complicité épatante pour un novice qui ne finirait jamais d’étonner ses proches. La musique produite était lente et rythmée, douce et apaisante pour des âmes fatiguées et lassées d’un quotidien inchangé. Elle reflétait le parfait secret d’un pacte entre mère et fils, en d’autres termes, un lien toujours existant et invisible a celui qui voulait croire en l’espoir d’un renouveau. Un nouveau souffle de vie, une autre vie au delà d’un monde rêvé.

La dernière note achevée, le prodige se tourna vers l’optimiste mère nourricière de son nouveau savoir en peignant sur ses lèvres de gamin, un sourire ensoleillé et sincère. Le lui rendant a son tour, elle entendit la voix plus affirmée de son aînée, Monica.

MONICA – « Zéké, tu viens jouer une partie de baseball ? »

Avait elle criée du dehors par la fenêtre ouverte. Ne pouvant guerre qu’optait pour une réponse favorable, le cadet de la famille se leva en courant vers la porte de sortie et glissa dans une voix murmuré.

LA FORCE - « Merci. ».

Quand la brise emporte l’ensemble du puzzle ; Le hasard est le fin mot de l’histoire.

« Le hasard est le plus grand romancier du monde; pour être fécond, il n'y a qu'à l'étudier. ».
Balzac.

Un jour une écrivain a dit « la mort et la vie sont intrinsèquement liés l’un a l’autre. ». Venir au monde est une souffrance en soit, celle de vivre et celle de devenir. Quitter le monde, celui de la vie devient dès lors une délivrance. L’homme nait pour mourir, mais vit pour dire et affirmer « oui j’ai vécu ! » telle ou telle choses. Pourtant sur ce chemin parsemé d’embuches, une question se pose : tout est il écrit d’avance ou bien cela fait intervenir un autre facteur plus puissant encore en compte ? Les scientifiques se bornent aux idées d’une sciences irrévocablement recherchée, les écrivains aux pouvoir du sens humains et les idéalistes au son de leur souhaits et de leurs désirs les plus profonds enfouies dans leurs envies. Seulement un être - pas vraiment comme les autres certes - désirait voir la perspective du monde sous un autre angle, celui qui répondait au mot « hasard ».

FLASH BACK.

Ancien logement des Wood.
23 novembre 2199, Londres, Grande Bretagne.

La nuit d’un noir de jais venait de prendre possession intégrante du ciel, les étoiles quand à elles avaient totalement disparues au profit d’une lune d’un jaune abeille qui reflétait parfaitement l’éveil de l’enfant de neuf ans encore debout. Assis contre le mur, tête sur ses genoux, bras soigneusement fermé sur ses oreilles, il patientait. Il attendait que le Jugement Dernier ait raison des effets funestes dont il était a l’origine. Des larmes d’eaux troubles vinrent se déposer sur son pantalon de pyjama, alors que des voix provenant de son conscient s’éprenaient de lui-même. Un combat de paroles qui ne cessait de lui martelait son esprit d’innocence. Une innocence qui selon lui était une malchance qui lui avait couté la vie de sa mère. La pièce qui abritait le malheur du pauvre enfant était plongé dans une obscurité totale et seul le reflet brillant de la pleine lune pouvait éclairer ses maux si grands paraissaient ils.

LE SAGE

LE MALIN

LE SAGE

LE MALIN

LA FORCE

FIN DU FLASH BACK.

« La vie est éphémère pour un soldat partant pour la guerre. La vie est longue pour une mère qui donne naissance a son enfant, et la vie demeure facétieuse pour une divergence qui émane de ce monde paisible. Le hasard est en effet une romance, une histoire a deux temps puis a trois temps. Il est fruit de mon existence, régit par un passé révolus et une vision fataliste. Je garde en mémoire une vaste liste dont on ne peut comprendre les significations ; en termes simples le mutisme et la mémoire font partis intégrante du moi intérieur. ».

Le temps n’est guerre encore à ce que je ne cesse de t’écrire. La force dont je fais usage pour te répondre n’est pas une corvée mais un plaisir dont je te réserves les attraits. La confidence de nos écrits est un « phénomène » qui me surprend, moi l’ermite solitaire et obstinée a mes heures. A de nombreuses reprises l’envie de comprendre l’humain m’est passé par l’esprit, tel une tempête qui est juste de passage dans une ville complètement déserte. La question de l’humanité chez l’homme n’est pas non plus ce qui revient le plus dans son comportement. Non bien au contraire, l’homme – au sens d’une généralité banalisée s’entend – ne se représentera que seul dans une contrée. L’assouvissement de sa victoire propre et de ses intérêts personnels prendra toujours une énorme ampleur à ses yeux. Il est vrai que tout humains, normalement constitué ne prétendront le contraire, ou bien il ment ? L’action véridique ne sera que le revers de sa médaille. L’humain ne prend conscience de ce qui importait le plus dans sa vie, le jour il s’avers le perdre.

J’espère encore que tu sauras, une fois de plus déchiffrer mes longues et impossible énigmes parfois complètement dérisoires. Les lignes de ta plume, ne doivent aucunement avoir raison de tes soudaines interrogations.

Extrait d’un de ses nombreux écrits.

Epilogue.

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« Le travail de la pensée ressemble au forage d'un puits ; l'eau est trouble d'abord, puis elle se clarifie. ».
Proverbe.

Novembre 2211, Conservatoire de New York, Etats Unis.

Les mains fines et sveltes apposées sur le clavier d’ivoire, les doigts dansant tels une chorégraphie classique, le regard fixé sur les touches noirs de jais et blanche de craie, le jeune Wood ne laissait rien le distraire, si ce n’est le bruit de son hasard qui portait le nom de mélodie musicale. La musique transportait chaque recoins de la salle, accompagnant les doux chandeliers de cristaux qui raisonnaient tels un sourire cristallins digne d’un enfant. Autour d‘Ezékiel, plus rien ne bougeait comme si le don qui voyageait à son coté depuis l’âge de six ans, lui permettait de structurer et de figer le temps à sa propre guise. Taciturne et mystérieux, l’ange rigolard, ne se laissait aucunement berner par le sourire hébété des jeunes filles accoudaient aux remparts des fenêtres donnant sur l’établissement scolaire voisin. L‘erreur, ce virtuose en herbe n’ayant que faire des remarques dont on peut l’assimiler et l’accabler, et doté de surcroit d’un mutisme incroyable, se décidait enfin à relever le visage droit devant lui. Ses yeux emplis d’une impassibilité totale, cette expression dépourvus d’émotions - aussi déconcertante qu’indéchiffrable -, cette demi mesure de fierté allait tout a fait de concert avec les attraits majeurs de sa personnalité hors du commun. Les regards et attentions féminines avait beau le sonder comme le toiser, le néant aurait était une magnifique métaphore juste à coté. Le jeune ermite au visage d’ange déchu, se leva à son tour en saisissant au passage le livre d’un dénommée Platon. Le philosophe de l’épopée grecque l’accompagnant de sa sagesse et de ses pas.

« Mon jeune disciple, cet Ezékiel est tout bonnement mon écrivain de bonne conduite. Des airs de mystères planant sur une statue de marbre, ferait de lui un euphémisme légèrement amusé. L’art de la musique, on fait de lui un individu, et un jeune homme a part entier. L’imagination de cet érudit possède un quelque chose d’intrigant et de somptueux, qui nous donne envie de le découvrir davantage. Adolescent modeste mais solitaire, Ezékiel reste tout de même celui de sa génération qui ne donnera jamais autant de gout à ses domaines de prédilections. Sa matière de traits caractériels étant vaste et contradictoire, il me tarde de savoir, ce que ce jeune taciturne aux reflets de bronze nous réserve à l’avenir. »

Marianne Wilson, Professeur de musique.