Maya V. Williams 100%

d e s c e n d a n t Date d'inscription : 15/07/2009 Nombre de messages : 11

MAYA VELINA WILLIAMS

" Ne vous dérangez pas. Le temps ne fait que passer."

Quand on parle de l'identité d'une chose, il s'agit donc de savoir si cette chose est identique à elle même, si elle est la même qu'elle même.Il s'agit du bon vieux principe d'identité: Une chose ne peut dans le même temps être à la fois elle-même et une autre.

Cela peut vous paraitre bizarre et même " débile ", de dire ce genre de choses, mais en faite, il s'agit de savoir si quelqu'un est le même, malgré les changements qu'il subit. Et plus précisément, quelle est la limite des changements qui font de nous quelqu'un d'autre. Par exemple, regardez donc des photos de vous enfant et regardez vous aujourd'hui dans la glace: Êtes vous identique ? Ou encore vous allez chez le coiffeur, vous ressortez les cheveux court: Même question. Vous grossissez: Même question.

Le problème de l'identité d'une chose, d'une personne, revient donc toujours à se demander si une chose est " la même " en des temps différents.

ACTE DE NAISSANCE

nom

prénom

âge & date de naissance

nationalité

INFORMATIONS PERSONNELLES

emploi

statut martial

réside dans

BROOKLYN [] ~~L'UPPER EAST SIDE~~ [] ~~L'UPPER WEST SIDE~~
appartient aux/à:
DESCENDANTS [] ~~PRODIGES~~ [] LA
~~SOCIÉTÉ LATNOK~~ [] ~~LA DÉCADE~~ []
~~NEW-YORKAIS~~

LE PÉRIPLE D'UNE VIE

historique:

Once Upon A Time

Papa: N'ai pas peur Jade' . Sa ne fera pas mal.
Jadenaïs: J'ai pas envie ... Sa fait mal, je t'en supplie, on joue a un autre jeu mais pas celui là.
Papa: Mais non ma puce, tu verra sa sera mieux que la dernière fois. Il ne faut pas faire de bruit, maman pourrait entendre et si elle entend, tu sera punit, elle t'enfermera dans la chambre et tu n'aura plus le droit de jouer.
Jadenaïs: Mais ... J'ai mal papa.
Papa: Mais non ... Tait toi!

Une fois, Deux fois, Trois fois ... Plus Jamais il ne me fera mal. Plus Jamais il me fera pleurée. Plus jamais il ne recommencera. Des paroles, justement seulement des paroles en l'air. Plus d'une dizaine de fois je l'ai aient entendu, et plus d'une dizaine de fois il à recommencer. Mais je ne pouvais rien dire, je ne pouvais me débattre, ni même en parler à qui que ce soit. Je n'avait que 6 ans. 6 ans ou 18 pour lui c'était pareil. Il ne s'en lassait pas. Il prenait un plaisir fou à me voir souffrir, j'avais beau lui dire d'arrêter, il n'entendait pas. Sourd de ces cris de plaisir, Noyer par mes pleurs incessant. 5 ans de douleurs, 5 ans de souffrance mais 9 ans de silence, 6 ans de séance de psy. 9 ans c'est le temps qu'il à fallut à un psy pour me faire parler. Je ne voulais pas, je n'avais pas le droit de parler de sa à qui que ce soit.

Psychologue: Mme Blood. Entrer je vous en prie.
Maria Brown: Bonjour, vous avez demandez à me parlée ?
Psychologue: Effectivement. Quels sont les rapports qu'ont Maya et votre mari ?
Maria Brown: Eh bien, ils s'entendent assez bien, Jake adore sa fille, il passe beaucoup de temps avec elle, un vrai papa poule.
Psychologue: Vous n'avez rien remarquez de special entre eux ?
Maria Brown: Que voulait vous insinuez ?
Psychologue: Mme. Votre mari abuse de votre fille.
Maria Brown: Pardon ? Qu'est ce que vous me racontez là ?
Psychologue: Maya, tu peut parler, ta maman est là pour t'aider, moi aussi.
Maya: Il... Il me disait de rien dire. De me taire, de ne pas pleurer, de ne pas crier. Il me disait aussi qu'il ne le referait plus jamais. Jamais. Mais c'etait faux, il a toujours continuer. J'avais 6 ans. Je ne comprenait pas ...J'etais petite, je croyait que ce qu'il disait, ce qu'il faisait etait normal.

Un jour, je serais danseuse etoile.

Depuis l'age de 4 ans, je suis inscrite dans un cour de danse classique. La danse est, et à toujours etait pour moi, une extériorisation de mes souffrances. J'ai souffert durant mon enfance, mais c'est la danse qui ma pour ainsi dire, sauver la mise. Ce rêve me hante depuis ma plus tendre enfance, mais mes parents, du moins ce qui me sert de père a toujours était contre sa. De toute facon, a part de son plaisir personnel, mon paternel était contre tout ce qui pourrait me rendre heureuse. L'école ce n'était pas mon fort non plus:

Maman: Maya Velina Williams ! Dans la cuisine ... Tout de suite !
Maya: J'arrive, j'arrive !

Quand ma mère m'appelle par mon matricule au complet, cela ne pressage souvent, rien de bon.Qu'avais-je put bien faire de mal encore ? J'arrivai péniblement dans la cuisine, ma mère était assise, mon père debout. De toute façon, quoique je dise, quoique je fasse, ce n'est jamais assez bien pour eux. Mais parents son vieux jeu. Il ne ce satisfaissent que du parfait, le Assez Bien ne fait pas partie de leur vocabulaire. Rien qu'à les écoutaient, il fallait que je soit parfaite, le modèle de la famille... Plus facile à dire qu'a faire . Ce jour là, mon bulletin scolaire venait d'arriver, et toujours le même discours était à l'appui " Maya ne travaille pas assez". En faite, c'est ce genre de commentaires déplacés qui avait tendance à mettre mes parents en rogne.

Maman: Ne travaille pas, Discute en cour, dérange ces camarades et je cite: Dors en classe ! Mais qu'ai je fait au Bon Dieu pour avoir une enfant comme toi ! C'est ton avenir que tu joue là Bon sang ! Quand va tu te mettre enfin au travail ??

Et voilà, une fois n'est pas coutume, elle criait. De toute façon elle ne savait faire que sa. Et tout ce monde pour un bulletin scolaire qui, entre nous soit dit, n'était pas si terrible que sa !

Maya: Maman, ma petite maman ! Ne t'énerve pas autant, tu va finir par nous faire une crise cardiaque !

Papa: Maya combien de fois t'ai je dit d'arrêter ce sourire narquois et cette ironie chronique ?! Tu n'a vraiment pas de quoi être fière de toi. Une honte ! La honte de la famille ! Ah si ta mère m'avait écouter, tu serait en pension, et ce, depuis bien longtemps déjà !

Et les voilà partie dans une dispute. Sa ne change pas vraiment de mon quotidien. Mais comment voulait vous être si parfaite, quand chaque jours, à chaque repas, chaque heures on vous met une pression terrible, on surveille vos actes, vos dires et on prend des décision à votre place au sujet de votre avenir ? De toutes façons, quoiqu'ils disent, quoiqu'ils fassent, je n'obéirai pas. Je ferais ce dont j'ai envie, et ce dont je rêve depuis toujours et ce, même si ils ne sont pas d'accord.

Un jour, je serais danseuse étoile .

▌ Vierge un jour ... Vierge toujours ? Non non quand même pas =)

Il s'appelait Brodie. Il était beau, il était gentil, il était doux, il était sensible, il était calin, il etait protecteur, il etait rigolo, il etait souriant, il etait mignon, il etait sage, il était fidèle, il m'aimait .... Enfin il m'aimait mais pas plus que sa libido. Notre histoire debuta lorsque j'avais 14 ans, j'etais jeune, belle, et surtout naive, très naïve. Pendant les 12 premiers mois, tout ce passait pour le mieux, il disait m'aimait, je l'aimais en retour. On ce voyaient le week end, on passaient nos vacances ensemble à regarder les saisons infinissable et indémodable des Simpson. Le grand amour avec un grand A. Du moins c'est ce que je croyait. Mais un homme reste un homme. Il voulu plus, beaucoup plus. Mais avec ce que j'avais endurer etant enfant, je ne voulais plus, du moins pas maintenant.

Brodie: Allez ma puce, fait moi plaisir ! Un aller-retour juste sa!
Maya: Non Brodie ! Je ne veux pas. C'est pas difficile à comprendre si ?
Brodie: Mais putain Maya tu m'aime oui ou non ?
Maya: Oui je t'aime Brodie Elias Hudson mais je ne suis pas prête encore à le faire .
Brodie: T'es qu'une egoiste tu pense qu'a toi, tu t'en fou de ce que moi je peut ressentir.
Maya: Non arrete, tu sait trés bien pourquoi je ne veux pas ! Si t'es pas assez intelligent et amoureux de moi pour comprendre alors je ne te retient plus .

Effectivement , il n'était pas amoureux de moi et encore moins intelligent. J'avais pleurée toutes les larmes de mon corps et ce, pendant plus de 2 mois. Mais c'était envers et contre moi. Je ne pouvais pas. Je n'arrivais pas. Du moins pas maintenant. Peut être plus tard ...
apparence physique: Je ne me trouve pas spécialement belle. Non pas que je veuille jouée la carte de la modestie, mais je ne pense pas être, une de ces top que l'on zieute dans tout les magasines. Au contraire, je me retrouve dans le modèle de la fille qui ne ce prend pas la tête. J'aime le naturelle, j'aime être décontractée autant dans ma personnalité que dans mon corps. Je suis assez saine d'esprit. Physiquement parlant, je suis pas la fille dont tout le monde regarde quand elle passe dans la rue etc. Je suis châtain foncée, cheveux mi-long. J'ai les yeux claires. Je suis plutôt petite mais pas trop. Je n'ai pas de style vestimentaire fixe, ni bien à moi. Un jean, spartiate et Petite chemise feront vite l'affaire. Je n'aime pas du tout me prendre la tête pour des banalités pareil. Je n'ai à plaire à personne, du moins si je doit plaire, je plairai tel que je suis, pas besoin d'en faire des tonnes. On me prend comme je suis, sinon rien.
traits de caractère: Comme toute personne normalement faite, je suis dotée de défauts ainsi que de qualités. Chaque traits de notre personnalité sont important, les uns nous rendent parfois, pas très avantager mais d'autre nous aides plus qu'on ne le pense. Parce que chaque êtres, vous, moi, eux, sommes différemment fait, et c'est, ces petits plus qui nous différencie autant. Pour ma part, pour que vous puissiez réellement connaitre ma personnalité, il faudrait me connaitre, mais pour vous faire un bref résumé sur ma personnalité, voici mes 3 principales qualités et mes 3 principaux défauts. Pour commencer, ma plus grande qualité, je pense, est la générosité. Depuis mon plus jeune age, j'ai le cœur sur la main comme disait ma grand-mère. J'aime les gens, j'aime aidés, j'aime venir en aide, j'aime etre serviable, j'ai besoin de me sentir utile, et la générosité fait grandement partie de mes besoins quotidien. En second, je dirait que ma douceur fait pas mal non plus. Je n'aime pas être agressée et donc encore moins, moi même, agresser les gens. J'aime qu'on soit doux(ce) avec moi, la douceur reflète tout de même, une sérénité, une gentillesse, une attention venant de la personne qui la transmet. Et donc, vient enfin mon naturelle, j'aime la nature et tout ce quelle comporte. Je n'aime pas en faire trop... Venons-en à mes défauts, nombreux soit-ils, je vais essayer de faire court. Mon plus grand défaut est ma jalousie, surtout envers les gens que j'aime, je ne peut m'empêcher de ne faire confiance qu'en celui ou celle que j'aime et surtout pas en ceux qui tourne autour de mon Jules. Ensuite je me qualifierai d'exigeante. Il faut que tout soit parfait , non pas chez les autres, mais sur moi, chez moi, moi. Surement dut à mon manque de confiance en moi, je suis exigeante sur ma propre personne, toujours plus, il faut que je donne tout pour arriver à mes fins, quel qu'en soit les conséquences, quand je fait quelque chose, je l'es fait bien, surtout quand cela me concerne directement. Je ne doit, en quelque sorte, pas me décevoir. Et pour terminer, je suis trés possesive, j'aime que les choses m'appartienne, notament les hommes, plus particulièrement UN homme... Mais sa , c'est une toute autre histoire.
croyances: J'ai toujours étais dés plus croyante. La superstition et moi ne sommes qu'un. Pour ce qui est des prédiction etc. Je ne préfère pas y pensée. La vie est tellement courte , on ne devrais même pas avoir le droit de ce monter la tête avec toutes ces choses auquels, il serait mieux pour moi, pour vous, pour eux de ne pas y penser. Profitons de la vie tant qu'il en est encore temps. Depuis cette date fatidique, je n'ai jamais etait dés plus serieuse. La vie est faite pour être vecu et non pas rêver.
d'un monde parfait: A quoi bon ce poser cette question là ? Puisque de toute maniere, quoique'on en pense, quoique'on en dise, quoique'on fasse, le monde parfait n'existe pas, et n'existera jamais. Le parfait en lui même n'est pas de ce monde; Alors oui, comme vous tous, j'ai ma vision du monde parfait, oui, une vision a laquelle en pensant, je perd du temps, puisque de toute manière, ce n'est qu'un rêve. Un monde ou tout le monde aurait sa place, ou tout le monde vivrait normalement. Un monde sans violence, sans souffrance, sans maladie, sans SDF. Un monde où tout le monde s'aimeraient. Un monde ou qu'en on se leveraient le matin, on seraient tous et toutes content(e) d'être en vie. D'avoir l'esprit libre, sans soucis, sans penser à de quoi sera fait demain. Parce que de toute facon, il faut arreter de pensé à ce genre de chose, parce que sa n'existe pas, le reel est là, nous y sommes en plein dedans; Et même si ce monde là vener à existé, on ne le connaitra jamais. Nos arriere petits enfants, peut être mais pas nous.

PORTRAIT

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