nalycìa heaven. Le paradis sur terre avez-vous dit ? Finish

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NALYCÌA HEAVEN HOPKINS .

ACTE DE NAISSANCE

nom: Hopkins
prénom: Nalycìa Heaven
âge & date de naissance: Vingt-et-un ans le vingt-trois juillet prochain
nationalité: espagnole, malgré son nom aux accents américains.

INFORMATIONS PERSONNELLES

emploi: Étudiante, mais a un petit job après quatre dans un restaurant.
statut martial: Célibataire, et oui, la douce n'a pas encore trouvé bague à son doigt mais si vous voulez mon avis, ça ne saurait tarder.
réside dans:
[x] BROOKLYN [] L'UPPER EAST SIDE [] L'UPPER WEST SIDE
appartient aux/à:
[] DESCENDANTS [] PRODIGES [] LA SOCIÉTÉ LATNOK [x] LA DÉCADE [] NEW-YORKAIS

LE PÉRIPLE D'UNE VIE

historique:
Je suis née il y a de ça presque vingt-et-un. C'est une belle après-midi d'été et vu comme ça avait commencé, cela n'aurait pu que continuer. Mes parents étaient espagnols, et je suis d'ailleurs née dans ce beau pays. Mes parents avaient tout pour être heureux ; tout juste mariés et fondant déjà une charmante petite famille. Ils n'étaient pas fort riche mais assez pour vivre confortablement. Je ne suis pas née prématurément, je n'avais aucune maladies, et mes parents se portaient bien, qui aurait pu imaginer qu'un malheur nous tomberait dessus quelques mois à peine après ma naissance.
Je n'ai pas d'exacts souvenirs de ce jour, après tout, j'étais à peine consciente du monde qui m'entourait... D'après ce que l'on m'en a dit, c'était un soir de tempête et mes parents revenaient de chez des amis. Moi, j'étais installée à l'arrière de la voiture, dans un siège pour bébé. Étonnamment, il m'arrive d'avoir des flashs me montrant cette sinistre soirée mais je ne pourrais dire s'il s'agit de la réalité ou si c'est mon imagination qui a tenté de mettre des images sur cette tragédie. Soit, il n'est pas très difficile de comprendre qu'ils ont eu un accident de voiture. Moi, je fus la miraculée de l'histoire mais mes parents quant à eux n'ont pas eu cette chance, malheureusement. Ainsi, à à peine quelques mois, j'étais déjà orpheline. J'ai passé la plus grande partie de mon enfance à l'orphelinat, sous le nom de Nalycìa López-Garcia. Je pense que c'est à cette époque que j'ai pris conscience de l'hypocrisie des nouveaux humains...

Même enfant, tout le monde sait ce qui est arrivé à la race qui nous précédait, rayée de la carte à cause de leur propre intelligence, de leur amour propre et du fait qu'ils n'aient eu aucun respect envers Dame Nature. Si vous voulez mon avis, si les gens sont aujourd'hui ce qu'ils sont, c'est pas peur, peur de retomber dans le même mal. Ce qu'ils ne comprennent pas c'est qu'ils aggravent leur cas ; À quoi cela sert-il de leur donner une nouvelle chance si c'est pour continuer à s'enfonçant en jouant les anges, en niant leur nature. Nous avons été fait ainsi, chacun ses qualités et ses défauts, il est dès lors inutile de changer en vain de changer. Les enfants étaient tous très "gentils" mais ce n'était pas par choix, c'était simplement à cause de la peur des adultes...

Finalement, j'avais dix ans quand des gens très bien de leur personne sont venu à l'orphelinat. Ils n'étaient pas espagnols, cela se voyait, et s'entendaient également. La femme était grande et au corps fin. Une chevelure blond cendré retombait en cascade sur ses épaules et ses yeux d'un bleu profond paraissaient refléter un océan. Elle s'appelait Jane. L'homme quant à lui était tout à fait sympathique, le genre de "beau gosse" dont toutes les filles rêvent... Grand également, au corps athlétique et au teint halé. Il avait de courts cheveux noirs et des yeux marrons. Son prénom aussi était magnifique ; Matthew. C'est vrai que s'il n'en avait pas la langue, il ressemblait aux hommes de mon pays. Ils ne parlaient que l'anglais ainsi qu'un langage fait de signes presque incompréhensibles pour pouvoir communiquer. À la fin, résignés, ils avaient d'ailleurs fait appel à une traductrice. Leur désir était d'adopter un enfant orphelin, et ce depuis assez d'années pour pouvoir tisser les liens forts avec eux. Quand les enfants l'ont su, tous s'étaient vêtus de leur plus beaux habits, il fallait reconnaitre que ce n'était pas souvent que l'on voyait de futurs parents arriver dans l'orphelinat. Moi, sur le moment, je n'avais pas compris d'où venait toute cette agitation, et était restée telle quel. En même temps, je n'espérais pas grand chose de cette visite, je n'avais pas la plus jolie "bouille" de l'établissement, et d'après mes camarades, je donnais l'impression d'être désagréable, tout ça parce que je n'étais pas comme eux. Lorsqu'ils me disaient cela, la seule réaction que j'avais était un haussement d'épaules, je m'en foutais pas mal de ce qu'ils pensaient. C'est cette authenticité qui me sortit de cet enfer... Ces gens, ils étaient différents de tout ceux que j'avais connu jusque là. Ils souriaient quand ça en valait la peine mais pouvaient se mettre en colère en quelques fractions de seconde. Ils disaient de pas faire partie de cette nouvelle société, d'après eux on pouvait être soi-même tout en étant bon.

C'est avec un jeans troué et un T-shirt trop grand que je me présentai à eux...

- Flash Back -
Nous étions tous en file indienne, à attendre notre tour. Jusqu'à présent, les "futurs parents" ne s'étaient pas encore décidés pour un enfant un particulier, sans doute voulaient-ils tous nous voir avant de faire leur choix. Enfin vint mon tour
» Nalycìa.
Je m'avançais nonchalamment dans la pièce, scrutant tour à tour les adultes qui s'y trouvaient. Ce fut la directrice qui prit la parole en premier, et ça n'avait visiblement aucun rapport avec une éventuelle adoption...
» Nalycìa ! N'aurais-tu donc pas pu faire un petit effort chérie ? Regarde-moi comment tu es habillée !
» Ce ne sont pas mes vêtements ni mon apparence qu'on adopte à ce que je sache ? Parce que si c'est le cas, moi j'attendrai ma majorité...
Je vis la femme brune dire quelque chose aux futurs parents, et à ma grande surprise, un sourire éclaira leurs visage. La directrice, Mme Roalez soupira et secoua doucement ses cheveux noirs tandis que la jeune femme blonde aux yeux bleus s'avança vers moi et me parla. Bien sûr, je ne compris pas du premier coup, il fallut attendre que la brune traduise
» Quel âge as-tu ?
» Dix ans.
À chaque fois que l'un de nous parlait, la traductrice répétait dans la langue adéquate.
» Et depuis combien de temps es-tu là ?
» Dix ans également.
La femme blonde eut un hoquet de surprise, cela n'avait pourtant rien d'exceptionnel... Mais visiblement, pour eux ça l'était. Ensuite, l'homme s'avança à s'agenouilla à ma hauteur.
» Est-ce que ça te plairait de partir de l'orphelinat ?
Je hochai la tête, ce serait un véritable soulagement, à condition qu'ils soient différents des gens que j'avais connu au long de ces dix années passées dans l'établissement
» Tu aimerais aller à New-York ? Reprit l'homme
» La capitale du Nouveau Monde ? Oh oui !
Je le dévisageai un moment, ainsi ils étaient de New-York... Je n'en croyais pas mes yeux. Une chance de partir d'ici et pour aller où ? à New-York... le rêve, non ? À son tour, la jeune femme s'accroupit et me regarda un long moment avant de reprendre la parole
» Dis-moi, pourquoi tu n'as pas fait comme tes camarades ? Je veux dire, pourquoi n'as-tu pas mis tes plus beaux habits ?
Je regardai mes pieds le temps d'un instant. Dans ma tête c'était déjà fichu.
» Parce que ça sert à rien... Moi, je suis comme ça, les vêtements du dimanche c'est pas mon truc...
Elle hocha la tête et s'adressa, toujours en anglais, à la traductrice qui elle-même s'adressa à la directrice. Les deux femmes s'éclipsèrent un instant tandis que moi, ainsi que ceux qui dans les minutes suivantes seraient mes nouveaux parents restions ensembles. Ensuite, la directrice revint dans la pièce, la traductrice la suivant. Elle fit signe aux deux New-Yorkais de s'avancer vers son bureau alors qu'elle me dit que m'assoir sur le petit banc adossé au mur. Je m'exécutai et observai la scène. Ils signèrent un tas de papier et moi je reprenais espoir. Après de longues minutes d'attente, ils revinrent vers moi.
» Je m'appelle Jane, et je suis ta nouvelle maman, tu es d'accord ?
Je hochai la tête joyeusement, comment refuser ?

- Flash Back -

C'est ainsi que j'eu une nouvelle famille. Au début, la communication n'était pas fort facile mais avec beaucoup de patience, nous apprîmes à nous comprendre. Je fus placée dans une école mexicaine, où la première langue était l'espagnol, mais où l'on avait également des cours d'anglais, ainsi après un an, j'étais plus ou moins intégrée à mon nouvel univers. Bientôt New-York City n'eut plus aucun secret pour moi, ou presque. Bien sûr, dans les rues, je devais toujours faire face à l'hypocrisie habituelle, mais chez moi c'était différent, Jane et Matthew, que j'appelais "papa" et "maman" étaient différents de ces gens, ils disaient ne pas vouloir faire parti de cette nouvelle société qui transformaient les humains en êtres robotisées mais mal configurés.

apparence physique: J'ai toujours été différente, que ce soit niveau caractère ou physique. Bien sûr, j'ai la même physionomie que les autres humains, bien qu'un peu plus petite que la moyenne, mais je parle au niveau maquillage et cetera. C'est vrai, je n'ai pas à me plaindre. Si je ne fais qu'un mètre cinquante huit, cela ne m'empêche pas d'avoir une silhouette qui en ferait rêver plus d'une. Non, je ne me vante pas, mais j'aime faire râler les filles trop à l'étroit dans leurs régimes en me délectant des meilleurs cochonneries de la ville, et cela passe autant par les barbes-à-papa que par par les doubles hamburger que j'avale quasi quotidiennement en quatre heure. J'ai conscience que c'est mauvais pour la santé, et c'est pour ça que je compense avec beaucoup - trop - de sport et une alimentation saine et équilibrée aux autres repas. Après, si cela est suffisant, je n'en ai aucune idée mais jusqu'à présent, je n'ai pas eu de problème de santé majeur, je suppose donc que ça suffit à rattraper le coup. À part ça j'ai les cheveux bruns - dont je prend très grand soin - et des yeux marrons, bien qu'ils m'arrive de mettre des lentilles de contact bleus, je dois reconnaitre que j'ai toujours admirer les yeux de Jane. J'ai la peau assez clair par rapport aux autres espagnoles, et ce n'est pas plus déplaisant ; se maquiller quand on a la peau foncée est fort fort délicat.

Certaines personnes sont fascinées par leur ventre, par leurs jambes, leurs yeux ou que sais-je. Moi, je suis fan de mon nez. Ne rigolez pas ! Je le trouve parfais, et croyez-moi, si votre nez n'est pas parfait, c'est votre visage tout entier qui en paye les frais. C'est pas pour rien qu'il y a tant de moches sur terre. Désolée si je t'ai vexé. Ainsi, lorsque je rencontre un jeune-homme, la première chose que je regarde c'est son nez. Je n'ai pas envie de sortir avec un pou non plus, quoique ce ne sait pas si ces derniers en ont un, de nez. Après vous me direz, un nez ça sert avant tout à respirer, je vous répondrez que c'est aussi ce qui se trouve au milieu de votre visage ! Bref, il est peut-être parfait, mais pour le parfaire encore plus, je me suis fait faire un piercing. Bien sûr, tout le monde n'aime pas ça, mais ce n'est pas mon problème, pour ceux qui ne l'auraient pas encore compris, mon but premier n'est pas de plaire aux autres mais bien à moi-même. Il m'arrive cependant de ne pas le mettre - le piercing - mais c'est tout de même assez rare, sauf quand de l'infection s'installe ( c'est bon, pas la peine de faire "bêk" c'est un des risques du piercing... ).

On dit que je suis assez jolie, mais moi j'aime pas mes pieds. Heureusement que les chaussures existent parce que je ne supporterais pas de les voir à longueur de journée ! Non mais plus sérieusement, c'est tellement compliqué de se faire des pédicures parfaites ! Pourtant, mes mains le sont, mais pas mes pieds et cela me désole. Comment je fais quand je vais à la plage alors ? Je reconnais que les escarpins c'est pas pratique, les baskets ça fait cxn et en plus après elles sont bonnes pour la poubelle mais nos ancêtres ont eu une merveilleuse idée en créant les ballerines ! Et oui, ces petites chaussures plates assez grandes pour cacher vos pieds mais assez petites pour ne pas les étouffer. Fabuleux moi je dis ! Et quand je vais à la piscine alors ? Et bien je suis dans l'eau, comment veux-tu que je les vois si ce n'est en tout flou ?

Sois la bienvenue sur le forum, J'espère que tu t'y plaira!

Invité

[Navrée, je ne pensais pas que ça allait prendre autant de place. ]

traits de caractère:
Pour ceux qui ont lu jusqu'ici, je vous direz que vous en savez assez et que lire ce qui suit serait gâcher mon plaisir lorsque vous me rencontrerez et que vous manquerez de faire une crise cardiaque, en tout cas si vous êtes comme tu ces imbéciles qui parcourent les rues le sourire aux lèvres. Vive le cannabis moi je dis ! Soit, si l'on parlait un peu de moi ? Oui je sais, vous mourrez d'envie de me voir en vrai pour vérifier si je vous raconte ne sont pas que balivernes. Si vous êtes intéressée, et pas trop moche, je vous donnerez rendez-vous un de ces soirs, mais attention, je suis sincère dans tout ce que je dis ! Ce sera donc à vos risques et périls. Je prends les numéros de téléphone aussi. Je disais donc, parlons de moi ! Et non, je ne suis pas parfaite, et je ne prétend pas l'être non plus. Je suis mieux que ça, je suis imparfaite ! Et en plus de ça, tout à fait normal. Enfin, ce
que moi j'appelle normal, donc il se peut que vous trouviez ça normal si vous jugez que la normalité c'est rentrer dans les normes, ce qui est presque logique vu que l'adjectif normal vient du mot norme mais pour être normalement c'est ne pas se voiler la face et vivre selon sa nature. Vous suivez ? Non ? Et bien relisez, je suis sûr que vous finirez par comprendre.

En bref, je suis quelqu'un d'assez égoïste, mais je me soigne ( ok, j'avoue, je dis toujours ça mais en pratique ce n'est pas toujours ça ). Soit, je reconnais que bien souvent, je ne pense qu'à moi ou à ceux qui me sont vraiment chers. Au delà de ce petit cercles, les gens me sont étrangers et leur problèmes avec eux. Cependant, j'avoue que si je vois quelqu'un en difficulté, je ne resterai pas de marbre, je téléphonerai au secours et je essayerai de l'aider... Après, ce qu'il advient de cette personne, je m'en fous. Et quoi ? Au moins je suis honnête et franche, pas comme la plupart des gens qui vivent sur cette terre, cette "nouvelle" société. Des hommes meilleurs ? Ouais, c'est ça, répétez-moi ça encore une seule fois et je vous fait avaler votre cravate de journaliste.

Comme je viens de le dire, je suis assez franche et j'ai parfois l'impression que ça dérange. Je ne suis pas le genre de fille qui veut se faire bien voir par la société, pas le genre de fille non plus qui va prier le dimanche en espérant que les dieux nous accordent la chance de vivre toujours plus longtemps. Je ne suis pas de ces personnes qui essaient de faire croire que tout va bien, et ce dans le meilleur des monde. C'est sans doute pour ça que jamais je n'ai eu beaucoup d'amis, parce que j'étais différente et parce que je n'avais pas envie de me lier d'amitié avec ces... gens ? Encore faut-il que ce soit le mot adéquat...

Malgré tout, ce garde les mêmes espérances que chacun. J'espère réussir ma vie, avoir des enfants et fonder une famille. J'étudie actuellement la médecine, bien que cela puisse paraitre incroyable lorsque l'on me voit dans la rue. Comme tout le monde, j'avais envie de gagner de l'argent et de vivre aisément. D'ailleurs, en plus de mes études, j'ai réussi à décrocher un petit boulot dans un restaurant. Ironique non ? Disons simplement que j'essaie ainsi de comprendre comment les gens peuvent sourire à longueur de journée. J'ai un service de quatre mais croyez moi, je suis heureuse de rentrer j'ai moi !

croyances:
Je ne crois pas en Dieu, ni en plusieurs dieux. Je ne crois pas au destin, ni à toutes ces conneries. Je crois en moi. Je ne me prend pas pour une déesse, non, mais je crois simplement que l'Homme a entre ses mains sa propre vie. Oui, peut-être qu'il y a des forces qui nous dépassent, comment expliquer la prophétie des Mayas sinon ? Mais je crois surtout qu'ils ne sert à rien de vouloir changer à tout prix. Je crois que nous sommes ce que nous sommes, et qu'un jour ou l'autre, nous disparaîtrons définitivement. Je crois que l'Homme est idiot, mauvais, prétentieux, et tout ce qui suit mais je pense aussi qu'il est possible de le sauver, sans pour autant le détourner de sa nature. Je crois que l'hypocrisie ne fait que l'enfoncer dans son malheur. Je crois que l'Homme à peur du futur, et pourtant il a peur de la mort. Mais en fait, ce que je crois n'a que peu d'importance. Je sais qu'on ne me croira pas.
vision
d'un monde parfait:
Dans mon monde parfait, il n'y a ni licornes ni arbres à bonbons. Il y a le bien, évidemment, mais aussi le mal, comme dans le ying et le yang. Je pense que l'un ne peut subsister sans l'autre. Dans mon monde parfait, rien n'est parfait, mais on peut tout améliorer. Oui, c'est l'imperfection qui fait la perfection. Dans mon monde parfait, l'humain reconnaitrait ses torts et ses défauts mais essayerai de mettre en avant ses qualités. Vous savez, je ne hais pas la race humaine, je la trouve simplement, telle qu'elle est aujourd'hui, hypocrite et matérielle, une belle mascarade. Dans mon monde parfait, la normalité serait mise à l'honneur, oh que oui.

PORTRAIT

pseudo & âge: primavera, 14ans
où avez-vous connu le forum: msn (=
votre avis sur le forum: magnifique

célébrité sur l'avatar: Hanna Beth nalycìa heaven. Le paradis sur terre avez-vous dit ? Finish 393169

code du règlement:

Spoiler:

Invité

Fini.

je te souhaite la bienvenue :)
Belle présentation, j'espère que tu t'amusera sur never.ending.tale !

edit: oh et validée :D

Invité

Merci ^^