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 a mystery an past does again surface, logan.

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Ezékiel G. Wood Ezékiel G. Wood
a d m i n i s t r a t r i c e

Date d'inscription : 16/02/2009
Nombre de messages : 528
● APPARTENANCE : les prodiges.
● VIE PRIVÉE : un ermite demeure un éternel solitaire bien qu'une certaine flamme dorme sous la cendre.
● ÂGE : vingt deux années.
● DISPONIBILITÉ : par mp.


a mystery an past does again surface, logan. Vide
MessageSujet: a mystery an past does again surface, logan.   a mystery an past does again surface, logan. EmptyLun 28 Sep - 18:40


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« C'est la vraie marque d'un philosophe que le sentiment d'étonnement. »
Platon.


    On n’oubliait tellement la valeur du temps, qu’une fois trop effacé on omettait de mentionner les rencontres qui le constitue. Rien est bien pire que d’occulter son passé, cette vie antérieur qui autrefois faisait de vous un enfant, un innocent face à la dure réalité de vie, un ange plein de grâce et volonté sans faille - ou presque -. Les rencontres faites aux abords de votre existence formaient toutes votre futur et vos piliers de sureté pour la confiance. La confiance. Voilà un sentiment bien grand mais si petit à la fois. Précieuse et malicieuse elle savait se montrer traitre envers son porteur tout comme la vie pouvait se refléter injuste face à un honnête homme. Et pourtant au travers de l’âge des années passées à se questionner sur la notion de confiance, seul le dramaturge Corneille avait réussit à y juxtaposé une infime petite question existentielle. « Et si la flamme d’une bougie venait à s’éteindre, oseriez vous rester seul à seul avec vous-même dans le noir ? ». Certains hommes vous certifierons quoi qu’ils en coutent que la lumière rassurante d’une bougie leur est égale, tandis que d’autres plus véridique envers eux ne prononcerons aucune paroles et garderons le silence. La réalité de cette comparaison imagée répond au faite ultime que l’homme a peur de lui-même, de sa propre personne, de son ombre la plus noire. Rare étant les cas, la théorie de Corneille fut vérifier au cours des siècles que très peu de fois au cours de l’histoire. Mais c’était sans compter sur la présence de l’humble pianiste. Ce dernier bien trop fataliste au gout de certains avait finit par soumettre sa mémoire a cette thèse dont il n’eu aucun mal pour avouer qu’il avait peur de sa personne et que l’obscurité lui rappelait de douloureux souvenirs. Des bribes qui cependant avaient été apaisé par la présence de son cercle d’amis proches. Ezékiel n’aimait pas particulièrement ouvrir les conversations ou bien allez vers autrui un sourire ballant et hypocrite sur les lèvres ; mais cette exception il l’avait faites en se dirigeant vers la jeune brune de son adolescence.

    Elle avait des airs mélancoliques sur ses traits de jeune fille, elle avait un sourire réfléchit et des yeux d’une couleur foncés qui lui indiquait très clairement qu’elle n’était pas vraiment comme les autres. Son geste de bienvenue consistait à en savoir davantage sur sa personne tout en essayant de l’aider au travers des paroles. Une entente qui se révéla bien que plus que complice lorsque dix années plus tard, ces deux individus étaient toujours amis comme au premier jour de leur rencontre. Etrange pour étrange, le jeune Wood n’avait pas encore prévenu sa meilleure de toujours en ce qui concerné son non départ - arrêté d’une manière tout à sait inattendue par Jude -. Il s’en voulait vraiment de devoir faire subir cela à Logan, la pauvre elle ne devait plus savoir sur quel pied dansé avec cet artiste torturé qui voulait sans cesse demeurer en solitaire sans accroche ni ennuis. Malgré tout ses désir, le britannique au regard de braise se retrouvait en plein problème comme n’importe quel être humain. L’amphithéâtre qui abritait actuellement son cour de langue ancienne, était remplit au pire moment qu’il soit et les brimades ainsi que les chuchotements massifs ne faisaient qu’échauffer les esprits depuis près d’une cinquantaine de minutes. En pensant à cela, l’ange rigolard ce mit a soupirait et toisa le pauvre professeur qui désespérément tentait de faire son cours. Jouant avec le stylo a bille entre ses fines mains blanches, Zéké tourna son visage vers l’énorme pendule qui ornait le mur au dessus du gigantesque tableau ou défilaient un nombre incalculable de diapositive sur l’empire grec et romain de l’époque. Fixant la grande aiguille qui indiquait les minutes, le Wood fronça d’un mouvement léger ses sourcils et l’aiguille obéit à sa demande psychique. Derechef, l’heure de midi sonna et la foule d’élève se transforma en raz de marée vers les nombreuses sorties possible. A son tour et d’une marche rapide, le musicien se mût en direction du parking afin de retrouver son véhicule. Lunettes de soleil sur le bout de son nez, il ouvrit la portière coté conducteur, s’y aventura et déposa ses affaires sur le siège voisin.

    Les alentours de la faculté étaient pris d’assaut par les autres universitaires, ce qui n’ôtait rien à sa patience légendaire. Une chanson des Beatles passait en fond sonore à l’intérieur de la Laguna, et quelques minutes plus tard il roulait déjà en direction de la ville où il devait rejoindre sa prodige de meilleure amie. Pour une fois que c’était lui qui œuvrait pour qu’ils puissent se voir, Logan ne semblait pas avoir refusée. Le temps était plutôt frais pour un jour d’automne ce qui en indisposait plus d’un, un cas contraire pour le mystérieux qui apprivoisait tout particulièrement les saisons hivernales de la fin de l’année. Laissant son engin a quatre roues sur la bas du macadam, non loin du Central Park, Zéké enleva ses lunettes de soleil - qui ne lui servait plus rien puisque les maigres rayons de soleil de l’entre deux de midi avaient tous disparus - et marcha tranquillement les mains dans les poches vers l’entrée du parc. Comme toujours et sans appel, la Curtis était déjà présente sur leur lieux de rendez vous. Esquissant un sourire à peine visible aux commissures de ses lèvres, il rétorqua d’un ton coutumièrement risible.

      « Toujours aussi ponctuelle mademoiselle Curtis ?! »

    Ezékiel toisa alors son amie de toujours d’un regard interrogateur, elle ne semblait guère dans son assiette alors que d’ordinaire cela aurait été le contraire. Entre lui et Logan il n’y avait jamais eu aucun secret, du moins de la part du Wood. Ce dernier aurait il fait une erreur de travers ? De manière complètement véridique et pour la première fois de sa vie, il fut étonnait de douter de la sincérité de la brune. Quelques choses ne tournait pas rond, mais quoi ? Cela seul les prochaines minutes en seront témoins.
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Logan E. Curtis Logan E. Curtis
a d m i n i s t r a t r i c e

Date d'inscription : 16/02/2009
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● APPARTENANCE : Prodiges
● VIE PRIVÉE : En couple
● ÂGE : 21 ans.
● DISPONIBILITÉ : Du tout ! -_-"


FEUILLE DE ROUTE
● AFFINITÉS
:
● PROFESSION: Etudiante en 4ème année

a mystery an past does again surface, logan. Vide
MessageSujet: Re: a mystery an past does again surface, logan.   a mystery an past does again surface, logan. EmptyMar 6 Oct - 20:36

a mystery an past does again surface, logan. 0022ybay a mystery an past does again surface, logan. 2iurkvm
« Dans chaque ami, il y a la moitié d'un traître. »
RIVAROL


    Quoi de mieux que de se faire réveiller par le sms de son meilleur ami qui nous donne rendez-vous ? Lorsque votre petit ami n’est pas là, cela va sans dire… Et bien, ce jour là, je n’étais pas spécialement d’humeur, habituellement, j’aurais couru le voir, mais la veille, il s’était passé tellement de choses. J’avais vu qu’il sortait avec ma meilleure amie, derrière mon dos, je crois que c’était le pire. Les voir se saluer de loin de visu et les voir s’embrasser dans la tête de Jude qui ne pouvait s’empêcher de penser à cela. J’étais vraiment mal. J’avais l’impression d’être hors du commun pour lui, pas comme je l’avais espérer au début, mais je pensais être devenu, je ne sais pas, sa meilleure amie ? Comme ce que je ressentais pour lui. Mais non, il ne m’avait rien dit, juste qu’il partait. Qu’il me laissait. Je me souvenais qu’il avait été attiré par mes airs mélancoliques, alors que je n’étais qu’une enfant, je le trouvais si magnifique à l’époque, j’avais était bouleversée de le voir se rapprocher de moi, me méprenant pendant quelques instants malheureusement. Mais dix ans plus tard, nous étions toujours aussi proche, nos sentiments d’amitié et de complicité toujours aussi forts. Mais je ne m’empêchais pas de lui en vouloir. A lui et à Jude.

    Ce matin là, je m’étais tout de même préparé à le voir, comme si c’était un jour comme les autres. J’avais enfilé ma chemise blanche sur un jean noir, dont le bas était rentré dans des bottines. J’attachais mes cheveux avec une pince avant d’attraper une veste noire, mon sac et de partir. N’ayant pas cours, je m’étais dirigée dans la bibliothèque, où, attendant l’heure de partir à la rencontre de mon ami, je faisais des annotations dans les cours de psychologie prises la semaine précédente. Puis, j’emprunté le dernier livre ouvert, je devais aller jusqu’à notre point de rendez-vous, je le glissais dans mon sac, et partait à travers la ville, je descendais dans la première bouche de métro que je trouvais, montrant ma carte de transport, je pu m’assoir quelques instants jusqu’à ce que je vois la station fatidique : « Central Park ». Lorsque je ressortais, un vent d’automne me fit frissonner, je refermais un peu plus ma veste, croisant les bras et avançais d’un pas décidé. Je savais bien qu’il n’était pas encore arrivé, je l’attendais quelques secondes à chaque fois, comme si que c’était une coutume entre nous. Je m’asseyais sur un banc, sur le côté, là où nous nous étions donné rendez-vous, d’ailleurs, généralement, c’était moi qui prenais cette initiative. Mais cela ne m’avait que vaguement intrigué, il allait parler du baiser. Enfin, c’est ce que je pensais… J’étais perdue dans mes pensées, ce qui fit que je ne remarquais pas le jeune arriver d’un pas nonchalant, les poings enfoncés dans ses poches. Bien que ce fût à peine visible, je vis qu’il me sourit, je lui répondais par un sourire que mes yeux ne suivaient pas.

      « Toujours, tu me connais… »


    Il me toisa, ce qui me fit froncer les sourcils, il avait ce regard interrogateur, inquisiteur, qui me perturbait grandement. Il était vrai que j’avais les yeux cernés, un regard mélancolique, et que je paraissais accablée, mais bon, je n’allais pas le lui cacher bien longtemps, étrangement, j’étais la télépathe mais il avait le don de savoir ce que je ressentais, enfin, presque tout ce que je ressentais. Il pensa soudainement que lui ne m’avait jamais caché de secret, et que, pour la première fois de sa vie, il s’étonnait lui-même de douter de ma sincérité. Ainsi donc, le bellâtre ne m’avait jamais rien caché ? Même pas son aventure avec ma colocataire. D’un geste, je l’invitais à rejoindre la place vacante sur le banc à côté de moi, bien que je craigne ses mots comme les miens, ceux qui ne tarderaient pas à arriver. Je ne savais même pas si je réussirais à m’expliquer, tout en survolant le fait que j’avais déjà ressenti des sentiments amoureux envers lui. Parce que je ne voulais pas qu’il le sache, non pas parce que je les entretenais toujours, c’était l’inverse, ces sentiments avaient mutés une amitié profonde, sincère, j’aurais tout fait pour lui. Et j’avais peur qu’il le prenne mal, tout bêtement, qu’il coupe les ponts avec moi. Qu’il m’abandonne. Prenant un air détaché, je lui demandais alors :

      « Tu voulais me parler Mister Wood ? »
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